Petit Hair Paix

Note HRP : - Tout le monde peut participer à ce RP, pourvu que son arrivé dans l’histoire soit la plus logique possible.
- Il est interdit de faire parler un autre personnage que le sien.
- Si il y avait plus que un ou deux participants, ce serait parfait^^



La nuit tombe sur Bonta. D’ordinaire, les rues de la cité sont sûres à toutes heures, mais aujourd’hui, il y avait un problème qui n’était jamais survenu auparavant. Une brume épaisse qui envahissait quelques ruelles semblait provenir d’une des entrées des égouts et une bourrasque aussi brève que violente avait éteint toutes les torches ; seules les lumières de certains bâtiments éclairaient faiblement les rues, et aucuns miliciens n’était en vue, seul quelques pious naïf osaient s’aventurer dans les endroits gagnés par cette brume surnaturelle. Pas de doutes, il n’y avait pas uniquement des citoyens Bontariens dans la ville…
La vue d’un si triste spectacle me fit froid dans le dos. Mais il ne fallait pas faiblir, pas tant que la Cité ne soit débarrassée de ces impuretés. Notre petit groupe d’explorateur, composé de quelques combattants volontaires, avait décidé de percer ce mystère en allant voir directement au cœur, c’est-à-dire au centre de la brume.
Nous n’avions que trop peu d’indices, et nous ne savions pas si il s’agissait d’une invasion démoniaque, d’un assaut de rats mutants, où d’un fuite dans les canalisations, mais il fallait savoir, sans quoi nous ne dormirions jamais plus sur nos deux oreilles…
J’allais me tourner vers mes compagnons pour leur indiquer que la voie était libre quand j’aperçu une ombre se faufiler dans les ruelles. Je fit discrètement signe à mes amis de me suivre sans bruits, et j’avançais à pas feutrés dans la direction empruntée par l’ombre. Etait-ce un assassin Sérianne à la solde de Brakmar ou un milicien Bontarien allant faire sa « ronde » dans les quartier chauds de la ville ? En tout cas, cela ne ressemblait pas aux rats de réfléchir et d’envoyer quelqu’un en éclaireur. D’ordinaire, ils attaquent en masse, sans prévenir, et essaye juste de faire le plus de dégâts possible.
Perdu dans mes pensées, je n’avais ni vu ni entendu mes compagnons qui m’avait rattrapés puis s’était groupés à côté de moi, et je failli hurlé lorsque l’un d’eux me chuchota quelque chose…